Souvenir de jeunesse.

j'erre les terres de Sunderland, mon lieu de naissance. Mon âme n'est pas piégé, elle est libre d'aller là où elle le souhaite ( sauf a à l'ode-là). Je suis revenu ici avec l'appuis de mon bâton de marche cela a été un long trajet. Je vis encore parce que j'ai une mission à accomplir, mais laquelle? Soudain, je vis un jeune homme, un spectre en larme près d'un pommier. Je m'avance alors vers lui et lui dit:

-Jeune homme qu'a tu donc à un pleurer sous cette arbre?

Le spectre se retourna puis pris peur :

-Mais qui êtes vous? Je dois rêver! Je suis mort, mon corps git au sol sans vie. On m'a assassiné, sauvagement tuer sans répit. Mais pourquoi suis-je censé encore voir les choses?

-Vous n'êtes plus humain, mon brave, vous êtes un fantôme condamné a errer sur le terre sans fin. La mort fait partit de notre vie! Je suis navré venez avec moi, abandonné votre corps, des gens le trouverons et ferons les funérailles comme il se le doit.

L'homme se redressa et me suivit, je me présentait, puis nous marchions vers ville.
Il me posait plein de question au sujet de la mort et de se qui l'attendais.
Alors je lui répondis :

-Pour te répondre à toutes tes questions, je vais te raconter ma vie de ma naissance à ma mort alors écoute bien mon histoire...

PS: Se Topique révellera ma vie en tant que enfant, fermier et soldat, il sera composé de plusieurs réponses alors soyez patient.

Je vivait dans une ferme, ma mère et mon père travaillaient dure pour qu'il y ait quelque chose à table.
Mon père faisait la récolte et ma mère vendait le tout au marché. Nous n'étions pas riche, ni pauvre. La vie était agréable. J'étais fils unique, ma sœur était morte à sa naissance, un tragédie. Je devait aider mon père a planter et à récolté. Mais nous avions aussi quelque vache pour le lait.
Un jour, quand nous étions entrain de déjeuné, quelqu'un toqua à la porte. mon père alla ouvrir la porte.
C'était un homme très grand avec des habits de soldat. L'homme déclara :

-Je suis le recruteur, James Barkwigt. Je vient chercher votre fils. Qu'il se prépare, demain il devra allez se présenter au port.

Le recruteur s'en alla vers les autres maisons, et mon père referma la porte avec une mine triste peu convaincante. Alors il me disait:

- Je savait que se jour allait venir, mon fils tu va devoir rassembler tout ton courage. La vie est dure cela est ainsi aujourd'hui sera ton dernier séjour dans ta maison.

Alors je me mis presque à pleurer et essayait de persuader mon père de me cacher ou de partir puis revenir une fois les soldats partit. Mais il n'y avait aucune chance, ceux qui refusent de rejoindre l'armée sont exécutés. Mon père m'emmena une dernière fois dans les champs.

Le lendemain, était une belle journée pour un adieu. J'étais près à partir, dans la cour de la ferme mon père et ma mère m'embrasaient puis mon père me donna une montre ornée d'or. Et me déclara que c'était la chose la plus précieuse de la maison. Cette montre est donnée de génération en génération. Je le remerciais. Je partis donc vers Sunderland. Ce n'était pas très loin. Notre village était qu'a quelque pas de cette grande ville portuaire. Pourquoi devoir ce battre pour une cause que nous ne connaissons même pas : Pouvoir? Terre? Richesse?. Rien nous a été annoncé.

Enfin arrivé au port, près d'un majestueux bateau. Il y a avait une grande file devant une table devant l'embarcation et deux gardes près d'un recruteur, le même qui m'a arraché de ma ferme.
Je me mis derrière à la queue. Quand c'était mon tour l'homme demanda :

-Votre nom?

Le recruteur me regarda doit dans les yeux, avec sa liste entre les mains.

-Ivan Ribo.

J'étais donc à bord de la "Sirène". On l'appelais ainsi car le navire est petit et beaucoup trop élégant pour être menaçant, mais derrière la coque étaient rangé une trentaine de canon, qui eux étaient les points du triomphe. Ce bateau a fait de nombreuse victoires, il a bien servit. Nous avions été envoyer à une mission de «repérage» le long des côtes ennemies. J'étais moussaillon le grade le plus ignoble de tous. Mais chacun doit passer par là.

Cela fait deux jour que nous naviguons : il y avait aucune île, ni cote, ni terre en vue depuis notre départ. Bizarrement le Sergent m'appréciait beaucoup. Je l'avais écouté, suivit, et aider pendant presque tout le temps sur le navire. Ici comme distraction on se contentait d'un jeux de dé ou de carte, le travail me faisait facilement disparaître l'ennui. Et tout sa me plaisait en fin de compte : les gens étaient très aimable et la cuisine parfaite. J'y prenait goût à la vie sur mer...

Le lendemain, j'étais réveillé brusquement, le bateau tremblait et l'on entendait des tirs de canon assourdissant. On nous tirait dessus! Tout le monde ce précipitait dans tout les sens, je sortis de mon hamac et montait en haut pour examiner la situation. Des hommes criaient et hurlaient. Je vis le Capitaine prendre le bar, le sergent donnais des ordres en pointant du doit. Un coup arracha la rampe de l'escalier et j'en fus je fut éjecter contre le mur et perdit conscience.

Une légère lueur, une brindille, un trait de lumière et ma vue revint. J'étais couché dans un lit avec d'autre personne a coté. Le sergent et un médecin me regardaient inquiet. Le sergent me demanda :

-Sa va petit... tu as été touché au bras, mais sa ira mieux d'ici quelque jour.

-Que... pourquoi avons nous été attaquer, que c'était t-il passer.

Le sergent, pensif, regardait ailleurs :

-Un brouillard nous empêchais de voir nous nous sommes donc arrêter, puis il c'est dissiper, et... devant se dressaient les côtes, des forts et des cannons. Ils ont commencer à tirer en voyant le drapeau, mais le Capitaine nous a sauver. Par chance il n' y eu plus de peur que de mal.

Depuis notre"défaite"sans victoire possible, le Capitaine était devenus plus prudent. Nous avions accoster dans une crique pour réparer les dégâts et chercher de quoi ce mettre sous les dents. Notre mission se fera donc à pied. On nous avait ordonner de connaitre le nombre de troupe stationner et le matériel qui était à leur disposition dont nous avons déjà fait connaissance. Nos ennemis devaient avoir envoyé des éclaireurs pour repérer notre lieu de naufrage. Il pourront chercher longtemps. Des patates sauvages et des tomates poussaient dans cette jungle et des cerfs se promenaient. Le cuisinier nous feras un prestigieux ragout. Nos marins faisaient tombés quelques arbres pour construire des abris provisoires. Moi je devais faire ma corvée de nettoyage du pont, alors que travailler avec l'équipe d'explorateur serait plus passionnant. Mais les ordres sont les ordres!
Mon bras allait déjà mieux, les images du bombardement défilent toujours encore dans ma tête, c'était affreux, mais l'équipage s'en était déjà remis. Je pense qu'ils ont déjà vécu pire. Le Capitaine Appolonice , a prévu que demain soir un groupe de six, commander par le Sergent Dizerot allaient s'occuper du repérage. Alors Dizerot le soir avant que finisse mon travail me parla :

-Salut Ivan, tu va mieux? Je suis sûr que tu voudrais venir avec nous demain. Tu sais, à ton age j'étais aussi comme toi.

-oui sa va mieux monsieur, vous avez raison j'aimerai vraiment beaucoup venir avec la troupe, j'ai l'impression d'être inutile. Pourquoi m'apporter vous tellement d'affection?

Le Sergent Dizerot se mis à sourire et un foulard:

-Depuis la mort de mon fils... il laissa quelques larmes tomber puis se ressaisit. Tu me rappelle tellement à lui, tu es comme un fils pour moi. Et j'ai décider de t'emmener avec moi dans la mission, s'il se passe quelque chose je voudrait être là.

J'étais fou de joie et plein de compassion :

-Je suis désoler pour votre fils... merci pour tout.

Le Sergent acquiesça et remonta les escaliers. J'étais heureux comme jamais, chez moi, à la ferme l'action n'était pas mon quotidien ni mon passe temps. Je m'ennuyait même beaucoup trop souvent.
Demain sera un autre jour...