Des problèmes!

Heysham,
20h tombée de la nuit, orage et grandes averses,
Rien de nouveau à Heysham.

Je suis entrain de poiroter à la Taverne du «chat qui pêche» avec quelque amis. C'est une Taverne très bien entretenue, avec des chambres luxueuses et avec beaucoup de mobilier. Et les boissons sont fortes! Nous parlions de notre combat dans la tour avec les deux sorcières; je m'en veux encore pour mes hommes morts. L'un d'eux était un cousin à moi mais je ne l'aimais pas trop: nous avions des opinions trop différentes (surtout sur la religion), mais c'est quand même un membre de la famille. Les funérailles ont eu lieu hier.

Un homme encapuchonné ouvrit la porte de la taverne, il avait un habit de postier/messager.
Il avait l'air à bout de souffle et était complètement mouillé... Il s'avança vers le bar et demanda une bière; nous échangions tous des regards interrogateurs. L'homme n'était ni vieux ni jeune, il devait avoir environ 50 ans. Puis il commença à demander le silence:

-Sil-vous plaît, keuf-keuf, je suis à la recherche d'un Epouvanteur, nous avons des problèmes à Ormskirk! L'un d'entre vous pourrait-il m'aider ?

Aussitôt je fis signe au messager de s'assoir

-Bonjour, je suis Fred Willington, Epouvanteur de ce comté. Quel est donc votre problème Monsieur...]

-James Erwood. Mon comté est menacé par des bandits, ils pillent et emmènent des femmes et des enfants avec eux !
Je réfléchis un instant...

-La police n'intervient-elle pas ?

-Non, ils disent n'être pas assez nombreux, ce sont des lâches! Et l'armée a autre chose à faire avec tous ces conflits dans le Sud.

-Je vais voir ce que je peux faire.

Heysham,
6h30 du matin,levé du soleil,
Soleil dégagé, beau temps.

James pris une chambre dans la taverne et y passa la nuit. Je choisis de partir tôt le lendemain.
Deux de mes compagnons d'armes me suivirent pour ce long trajet. Je pris mes affaires : gourdin, sel et limaille et quelques provisions. J'allais chercher James qui était au bar entrain de payer sa chambre. Nous partîmes donc vers Ormskirk et suivîmes le messager...

Le voyage allait durer 3 jours. Nous nous étions arrêtés dans des tavernes sinon nous dormions à la pleine étoile. Il ne se passa rien de particulier durant le trajet, mais James semblait très pressé. J'animais la conversation:

-Qui vous a donc envoyé chercher de l'aide, James?

-C'est le maire de notre village. Voilà Le village!

C'était un village comme Heysham sauf un peu plus grand : il y avait une église avec un clocher très haut, une taverne nommé: «Taverne aux Trois Couronnes» et plusieurs maisons avec jardin à l'arrière.

Nous suivions James qui s'arrêta devant une batisse, il ouvrit la porte et déclara :

-Bienvenu dans mon humble demeure, entrez donc.

Je lui souris et mes compagnons également. James nous fit signe de nous assoir à table:

-Je vais vous préparer un souper pour ce soir et demain nous nous occuperons des bandits.
Vous pourrez aller vous loger dans dans la Taverne près de l'église. Je n'ai pas beaucoup de place ici.

Pendant le souper, James me révéla tout ce qu'il savait sur ces bandits: leur refuge se trouvait dans la colline "des inconnus" que l'on pouvait voir par la fenêtre (c'était une vue à vous glacer le dos).
D'après lui, ils étaient contrôlés par une sorcière, car pendant les attaques, parfois, James apercevait une femme aux longs cheveux qui lui couvraient le visage. Elle avait des yeux rouges luisant dans la nuit. Peu de ceux qui l'ont vue ont survécu.

Je partis vers la taverne et pris une chambre pour moi et une autre pour mes compagnons
Demain nous verrons!

Ormskirk,Taverne «aux Trois Couronnes»,
8h du matin, temps brumeux,

On dormait bien dans cette auberge, mais le propriétaire était avare, il m'a demandé 200 shilling la nuit, un fou !J'ai réussit a faire baisser le prix avec une petite conversation (si vous voyer ce que je veux dire). Nous devions aller à la mairie rencontrer le maire du village. Il nous attendait devant le bâtiment.
Le maire nous salua et nous fit entrer. Il avait une allure rapide, alors qu'il avait l'aire très vieux avec son costume noir. C'était un bâtiment très ancien datant du temps ancien, une maison de valeur! Dans le hall d'entrer se trouvaient des tableau, apparemment, ces tableau sont les portrait des anciens maires.

Le doyen ouvrit une grande porte teinte en blanc, derrière ce trouvait une table avec huit chaises et encore des tableau aux murs. Il nous fit assoir et disait :

-Bonjour et bienvenu à Ormskirk, James m'a dit que vous venez d'Heysham, un magnifique petit village. Bon passons au choses sérieuses, êtes-vous en mesure d'essuyer ces acolytes, ses bandits de notre comté?

-Je suis épouvanteur cela et mon travail, mes compagnons et moi ferons le nécessaire.

Le vielle homme eu une fine satisfaite, et avant que nous nous apprêtions à partir il nous déclara:

A, oui! prenez garde à la sorcière, c'est depuis qu'elle et là que les bandits s'acharnent sans répit sur nous !

Puis il claca la porte. Apparemment, nous n'aurions pas à faire à des simples bandits, la sorcière devait les contrôler grâce au dons de la «fascination». Beaucoup de sorcière usent cette force obscure pour avoir des hommes muscler à leur coté. Sa ne sera pas facile !

Beaucoup de gens avaient quitter cette ville : plusieurs maisons sont hors d'état de loger quelqu'un, le village est complètement délabré. Les villageois devaient être à bout. J'avais décider de partir en tant qu'éclaireur pour tout d'abord localiser leur lieu de campement exacte puis connaître leur nombre et leur organisation ( armes, grades...). Je partis donc la nuit, il devait être 23h. Je pris la route vers la colline des inconnus. La lune éclairait mon chemin et il y avait beaucoup d'étoiles, il n'y avait pas de vent, n'y bruit. C'était Le Silence. La colline était une «forêt surélevées», de la un homme peu apercevoir tout le village. J'arpentai la colline a la recherche du campement. On y voyait plus très grand chose la lueur de la lune était étouffé par les arbres. J'aurais pus emmener une torche ou une lampe mais je me ferrait tout de suite repérer par les sentinelles.

Droit devant il y avait tout a coup une petite lumière à quelque mètre. Je m'approchais donc en rampant et en évitant de faire tout bruit. Je pouvais à présent entendre des rires et des pleures.
Je me cachais derrière un buisson et risquait un coup d'œil. Il y a vais une dizaine d'homme assis sur des rondins autour d'un feux, il y avais 6 tentes et des cages. Dans ceux-ci, il y avais des femmes enfermé et deux jeune fille. Quelle sort leur serait réservés? Je décidais avoir assez vu et rampait en marche arrière jusqu'à être assez loin pour me relever. Et repris la route vers Ormskirk.

Il me fallait de l'aide pour combattre, ses tyrans. Je savais déjà à qui m'adresser : John Gregory, le maitre des épouvanteur. J'ai beaucoup entendu parler de lui. Et je sait qu'il pourra m'aider.



J'écrivis donc une lettre pendant que mes deux compagnons cherchent de courageux homme pret à affronter le mal:

MESSAGE HAUTE IMPORTANCE

Bon jour,

Je suis Chef de milice: Willington Fred, vous ne me connaissez pas (sauf si vous avez déjà entendu de mes petit exploit). Les temps son grave pour Ormskirk. Je vous demande de venir le plus vite possible. Des bandits nous menacent, les autorité s'en moquent et l'armée est au Sud.
Je sais ce que vous pensez des enfermer des bandits n'est pas votre travail mais apparemment il sont contrôler par une sorcière. Ils ont des prisonnier et sont environ une dizaine! Et nous pour le moment que trois. Le temps presse.

Fred Willigton.

Le 3eme jours venait a terme lorsque nous arrivames aux abords de la vile d'Ormskirk!
Le voyage avait etait on ne peu plus epuisant etant donner que j'avais du porter toutes mes affaires, dont ma Hache que j'avais mise sur mon epaule durant une partie du chemin!
Avant d'entrer dans le village, nous nous arretames quelques instant afin de clarifier la situation d'ici.

Voici donc Ormskirk. Nous devrions nous mefier... Si les bandits sont bien sous le joug d'une pernicieuse il est possible que des villageois soit de meche avec elle!

Je regardai les alentour du village! C'etait la premiere fois que je visiter ce village. Je me tournai alors vers l'Epouvanteur!

Nous devrions trouver notre contact. L'homme qui a envoyer la lettre! Cela fait pres de 3 jours que nous marchons, il faut en savoir plus sur l'evolution de la situation des habitant d'Ormskirk... Une suggestion?

En effet je ne connaissai pas ce Fred Willigton, je ne pourrai surement pas le reconnaitre. Mais etant donner que j'etais avec Mr Gregory, c'est surement lui qui nous trouverai!

Encore un temps pourrit, des orages et de la pluie. Désormais je ne viendrait jamais en vacance ici!
Je descendis l'escalier de la taverne pour déjeuné. Il n'y avait pas grand monde, mais un vielle homme, longue veste bâton et sacs de voyage était assit avec un autre homme à table.
Sa doit être lui forcément qui serait habillé d'une telle manière. Je m'assis donc à leur table.

-Bonjour, vous devez être M. John Gregory, l'épouvanteur, je suis celui qui vous a contacter.
J'ai grand besoin de vos service si vous l'accepter. Comme vous l'avez lu une «armée» de bandit bien équipé menace Ormskirk. Nous devons élaboré un plan.

Mes deux compagnons descendirent et se mirent à notre table. Et saluèrent nos hottes.
Ils avaient rassemblés 2 hommes: James le messager et le forgeron du village. Un maigre petit groupe. Le maire du village, lui, cherche toujours de l'aide au près des autorités mais ils réponde toujours la même chose :"Nous sommes très occupés". Il faudra rusé notre attaque pour ne pas périr.

La soirée etait vraiment d'un mauvais temps...
Je ne supportai pas d'avoir de la Pluie dans les cheveux. Alors au moment ou nous penetrions dans cette Auberge je poussai un soupir de soulagement. L'epouvanteur et moi nous nous assîmes a une table a quelques distance du Bar, Apres un moment d'attente le denommé Fred nous rejoignis enfin!
Il s'assura que nous etions bien des Epouvanteur avant que Mr Gregory ne prenne la parole:

Merci de l’accueil Fred. Ne perdons pas de temps et dîtes moi ce que j’ai besoin de savoir : combien sont-ils, quel est leur équipement, et combien de personnes avait vous réussit à réunir.


Ma venue n'etait pas prevu et l'homme en face de nous m'observer de temps en temps du coin de l'oeil. Il me paraissai assez jeune mais semblai connaitre son metier. Il serait surement un bon soutien pour nous lors de notre travail.

Le temps ne s'améliorait toujours pas, un jour ou l'on a envie de rien faire. J'expliquais donc à John notre situation:

-Les bandits sont retranchés sur une colline, ils sont environ 15 personnes sans compté cette mystérieuse sorcière. Ils sont bien armé épées masses et poignards étaient à leur disposition.
Nous, nous serons 7 : vous, votre amis, moi mes deux compagnons et deux hommes du village.

Je me demande pourquoi tout se temps les Hors-là-lois n'ont fait aucun Raid sur Ormskirk cela paraît très étrange. Que mijotent ils?

Ps: Si tu crois que nous sommes trop nombreux, alors je pourrait faire en sorte que les deux hommes du village n'osent plus venir avec nous. Sa sera plus passionnant! Mais on verra déjà.

J'hesitai encore entre quel parti prendre: Les Bandits serai un affrontement interessant mais dangereux etant donner leur nombre ou la Sorciere qui avec l'effet de surprise ne detecterai ni Mr Gregory ni moi! Mon instint me pousser a attaquer la sorciere car elle serai surement plus vulnerable a 2 contre 1 sachant qu'elle ne s'attendrai surement pas a nous voir surgir. Mais un combat a 5 contre 15 etait encore moins egal. Finalement apres avoir bien reflechi, Je pensai etre plus utile au villageois par ma force tandis que l'Epouvanteur connaissai bien son travail.

Eh j'ai decider! Je veux les hommes armés avec moi! Je pourrai les aider a tenir le temps de vaincre la pernicieuse et ainsi liberer les hommes...a supposer qu'il soit sous le joug d'une quelconque fascination!

Pendant que l'on continuer de debattre sur le probleme je me baisser et fouiller mon sac, et en sortie une sacoche a equipement, elle me permetter de ranger plusieurs objet utile dans differente poche de la sacoche qui etait attacher a ma ceinture, de cette maniere je me sentirai plus a l'aise si je ne tient pas un sac sur l'epaule! Le Cordonnier de Priestown avait genereusement fait des heures supplementaire pour me la faire et j'en etait plus que satisfait. Je la placer donc a ma ceinture et elle descendait jusqu'a ma cuisse gauche.

ça risque de pas etre simple contre les hommes en plus de leur nombre on ne devra pas les tuer vu qu'il sont controler... c'est un sale handicap

Nous sommes bien armé mes compagnons et moi mais les villageois, sont une autre affaire. Je leur procurerait des armes ne vous en faite pas !

Je n'était pas de tout d'accord avec la déclaration de Liam:

Non, ces bandits sont des bandits ils seront exécuté. Contrôler ou pas.
Nous devons sauver les prisonniers, nous n'avons pas le temps pour la pitié.

Il était midi déjà le temps passait vite. Le plan de John Gregory doit fonctionner.

A la reaction de Fred je repris mon comportement desinvolte et etait d'accord avec lui, me penchant vers l'epouvanteur je lui soufflai:

Il me plait bien celui la!

a haute vois je repris:

Je suis d'accord avec l'idee de zigouiller les bandits, mais je m'attendai a une reaction de l'Epouvanteur a cette idee!

Si cela n'avait tenu qu'a moi, nous debarasser des hommes aurait etait une prioriter. Malheureusement je ne decidai pas et laisser donc mon tour a John Gregory.
Les hommes du village ne m'interessai pas plus que cela et je ne preterai probablement pas beaucoup d'interet aux instructions de Mr Gregory.

Après avoir organisé un plan qui devrait nous amenez à la victoire : Moi mes homme, les villageois et Liam allons affronter les bandits face à face. Pendant ce temps John Gregory ce faufilera dans le campement pour éliminer cette fameuse sorcière malheureusement je n'aurait aucune pitié pour ses Hors-là-loi. Les prisonnier seront juger et condamné et après une large récompense m'attendra(bien sûr, je partagerais avec ceux qui mon soutenu). Mais je fais surtout tout cela pour sauver ses innocents sans défense. Je pense qu'il en va de même pour John et son amis. L'incompétence des villageois va être vise à l'épreuve. Demain à l'aube aura lieu la le combat tell en avait décider John.

Un matin a brouillard, quelque rayon lumineux frôlent la terre. Nous étions rassemblé devant la place de l'église. Le forgerons manquait à l'appelle et James m'a annoncer qu'il ne viendra pas.
Des mauvaises nouvelles, mais je m'y attendais presque. J'étais habillé normalement sauf avec mon tablier de forgerons sur la chemise à carreau. Mes compagnons étaient encapuchonné. Désormais nous somme en marche vers la colline des inconnus. Une grande bataille allait s'annoncer, celle d'Ormskirk!

Tout en marchant j'ecoutai les differente directive concernant les groupes. Tenir jusqu'a la certitude que les Bandits n'etaient finalement pas controler... J'arriverai surement a tenir, mais qu'en serait-il de mes comperes? Sachant que des Villageois, non entrainer pour les combats serai de la partie. Ce ne serai pas une parti de plaisir pour eux!

Ne cherchez pas à vous cacher, la sorcière vous a sûrement déjà repéré, mais vous croyant seulement cinq, ils n’essayeront pas de s’échapper. Laisser Liam porter le premier coup, à distance si possible, il ne peut être détecter pas la sorcière comme moi. Je ferai le tour de la colline pour l’avoir par derrière. Tenait sans tuer les hommes le plus longtemps possible, du moins jusqu’au moment on nous serons si ils sont sous l’emprise de la magie noire.

Le premier coup a distance avit-il preciser. Je ne savais pas encore comment m'y prendre et je tenter d'y remedier lorsque le Vieux Gregory me pris a par.

Bien que je ne doute pas de tes capacités, ne fonce pas dans le combat tête la première, je n’ai pas envie de voir un de mes apprentis mourir avec quelques jours.

Son inquietude et son doute ne m'avait nullement offenser et cette attention me fit penser a un Père esseyant desesperement de garder un fils en vie. Je souris.

Je ferai mon devoir...Maitre! m'appliquant a ne rien laisser paraitre de ma penser paternel je retourner a mon groupe afin de mieux nous preparer:

Ecoutez... Etant donner que nou avons des villageois avec nous, il s'agit de ne pas non plus les laisser trop a decouvert. Nous devons les soutenir car il si nous les perdons nous perdons nos unique chance de tenir la position. Fred m'exclamai-je de facon a ce que je lui parle directement a lui. Dirige bien tes hommes, je serai un soutien pour les hommes du village. Un regards imperceptible me permit de situer aproximativement la position de l'Epouvanteur avant de declarer plus bas:

Il serai plus simple de les finir rapidement et eviter la moindre fuite, mais il faudra prendre son mal en patience, Il sera difficil de simplement tenir sachant que je possede une Hache... Mais je compte sur toi, ainsi que chacun de vous declarai-je cette fois pour que tous le monde m'entende.

La sorcière avait bien prévu notre arrivée. Dans une clairière, Attendaient environ douze hommes bien armés et musclés. La peur se lisait dans nos visages. Les bandits ne nous avaient pas encore repéré, C'est alors que Liam, ce leva est pris l'élan, pour organiser un carnage. Je me mis à sa suite pour l'aider. Les bandits furent surpris de voir des hommes arriver de nul par et de plus en plus nombreux. Mais les hors-là-loi prirent assez rapidement position et gagnaient du terrain.
Nos boucliers et nos épées faisaient un raffut que l'on pouvait sans doute entendre à Ormskirk.
Un de nos ennemis trainait déjà inconscient au sol. La rage des bandits et le courage des hommes de la lumière fessaient constamment changer le cour de la bataille. Liam se battait bien il esquivait et parer les attaques le mieux qu'il pouvait. De mon coté, j'assommais un bandit. Mes compagnons eu les repoussaient comme ils le pouvaient. James et le forgerons se tenaient plus en arrière et assuraient que personne viennent nous prendre par derrière. L'un des bandit, un homme a barbe rousse se déchainait sur l'un de mes compagnons, le bouclier brisa, et sa hache lui coupa la main! James vint à son secour et le fit reculer. J'étais horrifier. Combien de temps allons nous encore tenir? Tout seul nous ne tiendrons pas longtemps! John dépêchez-vous!

Nous courrions vers les ennemis lorsque ceux ci nous reperent et nous chargent. Etant devant les autres et suivant le plan de l'Epouvanteur je deguainer mon poignard et le lancai en direction de l'aissallant! J'avais fait mouche! le Couteau ce planta dans la cuisse de l'homme qui s'ecroula en criant des injures de tous coté.
Le combat faisait rage, et lorsque j'en avais le temps je voyai les performance de Fred et ses equipier. Je recuperer mon Poignard encore planter dans la jambe du Bandit qui poussa un nouveau hurlement de douleur lorsque je l'arracher! Il m'etait difficil de veiller sur tous le monde temps nous etions en sous effectif et le cri de douleur d'un des villageois me fit me retourner, ce qui permit a mon adversaire actuel de me frapper au visage, ce qui me fit basculer dans l'herbe fraiche. Je me relever et mis la main sur ma Hache, un coup du plat de la lame fit voler l'ennemi a quelques metre et j'arriver aupres du villageois blesser, aider par James qui devai en meme temps soutenir et proteger sa position face au Barbu! Je m'interposer devant mon nouvel ennemi et nous nous apretames a croiser le fer. Nos Hache ce cogner, nous pivotions et j'esquiver les attaque bien porter par ce Gros barbu. Il n'etait pas mauvais malgres sa taille imposante, mais j'etais plus vif, plus jeune! Je lançai mon poignard qu'il devia juste a temps avec son enorme hache, ce qui lui couter un temps de repositionnement. J'en profitai! Je courru Hache a la main et lui sauter sur les epaules, il bouger enormement mais je fini par y arriver: Dans un craquement a faire frissonner mes os je lui Briser la nuque et m'effondrer avec le corps."Un seul" m'etais-je dit. Je me relever mais nos ennemis etait toujours nombreux. Ou en etait John Gregory?

Deux de nos hommes étaient déjà tombés! Nous étions encerclés, nous avions pris une formation
sérée en cercle pour protéger les blesser. La fin approchait. Mais qui voilà? C'est John ! Il arrive à notre rescousse. John pris de l'élan et sauta dans le tas. Il avait semer la confusion dans les rangs des bandits. Nous fîmes tombé les bandits un par un. Les bandits déposaient leur armes, nous étions tous à bout de souffle mais vainqueur. Le combat avait durer plus d'une heure. La plupart des hors-là-lois étaient inconscient par terre d'autre mort est encore d'autre enchainer. Je remarquais que John
saignait de l'épaule, il avait l'ai autre part, il regardait dans le vide:

-John vous allez bien n'êtes vous pas heureux, nous avons libéré le village. Je marquait un temps d'arrêt: Avez-vous trouver cette sorcière?

John ne me répondit pas je devait me satisfaire d'un «humm..»
Les villageois allaient nous accueillir comme des héros! Tout autant que la fameuse paye !Le maire était fou de joie, il m'avoua qu'il ne pensait pas que nous réussissions. James et le forgeron furent emmener chez le médecin. Ce n'était rien de grave. Je proposait donc a John et à Liam, d'arroser notre victoire.

3 Jours apres le combat contre les bandits, j'avais pu soigner la plupart de mes blessures qui etaient plutot superficielles. Il me rester quatres jours pour retrouver l'Epouvanteur a present. n'ayant plus rien a faire a Ormskirk je deicder donc de reprendre ma route.
J'avais pris des nouvelles des blessés les plus graves, et avais aider au possible.
Je quittai donc le village en direction de Chipenden.

J'ai attrapé une fièvre après tout ces excitations, John n'a pas assister à la fête, il à même laisser sa récompense au villageois. A présent je dois rester dans cette bourgade moisie encore trois jours pour guérir. Mes compagnons d'armes sont déjà partit vers Heysam pour ne pas inquiéter leurs femmes.
Je m'endormis dans mon confortable petit lit à la Taverne....

Je fus réveiller par des cris et l'odeur du brûler, je me levait et regardais par la fenêtre : Des femmes et des enfants étaient égorger au sol, les maisons étaient en feu. En bas j'entendais des «pitié, pitié!» et encore des cris. La porte de ma chambre explosa en morceau. Une force incroyable me poussa contre le mur ! J'étais à moiter assommer. C'est alors qu'une femme en robe noir entra avec deux hommes musclé. Elle s'approcha de moi tout doucement et me dit :

Vous avez faillit à votre tâche Fred, Vous avez perdu !

Je me réveillait pour de bon, mon visage était plein de sueur, le cœur battant à la chamade.
Ce n'était qu'un cauchemar, un terrible cauchemar. Il avait l'air si réelle. Cela m'était encore jamais arriver auparavent. Que voulait-elle dire avec «vous avez faillit à votre tâche...» Une vision? Un simple cauchemar? Ou de la télépathie? Je me sentait vraiment pas bien sa doit être sa. Rien que sa...

THE END ! plut aucun message sera poster sans mon autorisation !